GHAR HASAN CAVE - DELIMARA - MARSAXLOKK
Dernière journée farniente, avec pour commencer un bon petit déjeuner à Rabat. C'est samedi, météo généreuse et pas mal de monde.
Objectif : manger du poisson à MARSAXLOKK !
Pour y arriver, nous traversons d'abord une zone industrielle, avec une pensée pour notre petit fils puisque nous passons devant l'usine Playmobil.
Nous allons voir la Ghar Hasan cave, une grotte à flanc de falaise où une lampe de poche est nécessaire pour arriver à l'embouchure... Personnes souffrant de vertige s'abstenir !
Nous traversons Birzebbugia, zone portuaire sur eau turquoise. Sacré contraste entre gigantesques porte containers et petites barques. Il faut bien que Malte s'approvisionne, notamment en denrées alimentaires, car elle n'est autosuffisante qu'à hauteur de 40%.
Aire de pique nique surprenante...
En plus de rouler à gauche, il faut rebûcher le code !
Après avoir satisfait notre envie de poisson frais, nous allons au pied du phare de Delimara où se trouve une calanque, le coin idéal pour savourer nos derniers instants.
Retour au port de MARSAXLOKK au soleil couchant pour encore quelques clichés.
et retour maison pour préparation des bagages...
Fin du séjour. Une semaine pour découvrir Malte (plus petit état de l'Union Européenne avec 27 km de long et 14 de large) et Gozo tranquillement. Si c'était à refaire, nous terminerions par Gozo, en y passant 2 nuits au lieu d'une. C'est un conseil qu'on peut donner : finir par le calme et la beauté de cette île. L'époque était idéale, pas trop chaud et environnement très fleuri, ce qui ne doit pas être le cas en été et en fin d'année. D'ailleurs, pour nous Pyrénéens, habitués aux rivières et lacs, nous avons été surpris par le manque d'eau apparent. En réalité, l'eau douce est fournie grâce à des installations de centrales de désalinisation d'eau de mer.
Les Maltais sont adorables, bienveillants et toujours de bonne composition, ce qui est très appréciable ! Et pour finir, nous mangeons très bien, majoritairement italien. Nous n'avons pas goûté le plat national : lapin en sauce. Geoffroy nous expliquait qu'à l'époque des chevaliers, le lapin était un mets destiné à la cour. C'était une fête quand le commun des mortels arrivait à en avoir dans son assiette.
Une belle semaine qui s'achève déjà...